17 Juillet 2007
Procès Messaoud BENYOUCEF C/ Amid TOUALBIA : Le verdict est... ? La validation judiciaire, du droit de diffamer et d'injurier, publiquement et impunément, les Harkis et leurs Familles !!!
Amid TOUALBIA, une autre victime de la "FLNisation" de la France !!!
Décidément, chaque jour nous apporte, crescendo, son "lot de perfidies anti-Harkis", en Terre de France, comme si ses "dirigeants félons et successifs", depuis 1962, tenaient à faire payer, aux Harkis et à leurs Familles, leur patriotisme et leur fidélité, à l'égard de la "Mère-Patrie" !!!
Par une étrange "ironie du sort" et, pendant que je rédigeais, un pamphlet traitant, des "félonies étatiques et institutionnelles" (cf. A lire et/ou à relire par le lien suivant : http://www.coalition-harkis.com/content/view/162/2/), la 17ème Chambre Correctionnelle, du Tribunal de Grande Instance de Paris, rendait, le 13 juillet 2007, son jugement, dans l'affaire Messaoud BENYOUCEF C/ Amid TOUALBIA, dont le verdict est le suivant :
- Amid TOUALBIA est condamné à un (1) euro symbolique au titre des dommages et intérêts ;
- Amid TOUALBIA est condamné à 800 € au titre de l'article 475-1 du Code de Procédure Pénale ;
- Amid TOUALBIA est condamné à faire paraître, dans trois journaux, le présent jugement, au choix des poursuivants ;
- Le Tribunal rejette le surplus des demandes de la Partie adverse.
En l'espèce et lorsque l'on connaît, le contexte très particulier, dans lequel s'est déroulé, cette "saga judiciaire", il convient de s'interroger, à très juste titre, sur le degré réel, d'impartialité, du juge répressif et, du magistrat-instructeur. Bien entendu, cette "décision très discutable" rendue, par notre (In)justice française, était prévisible, d'une part, par la gestion équivoque et laxiste, du dossier, par le propre avocat charentais, d'Amid TOUALBIA, en l'occurrence, Maître Jean-François CHANGEUR (choisi par le mis en examen, précisons-le) qui n'avait pas cru devoir effectuer, dès le début de l'instruction, les diligences utiles et prévues, par le Code de Procédure Pénale, afin d'obtenir des surplus d'information et, ainsi, éviter ce procès inepte.
La Justice française (voire l'injustice) deviendrait-elle une véritable "roulette russe" ?
Nonobstant mes remarques réitérées, auprès des intéressés (Amid TOUALBIA et son avocat susmentionné), restées lettres mortes et sans effet, j'ai pris la résolution de me désolidariser, de ce "différend d'ordre privé", car je ne voulais pas être, le "dindon de la farce", tout en servant de "caution morale de façade", à une stratégie de défense incompréhensible et suicidaire. J'avais subi, récemment, une situation similaire, lors de la sordide controverse "Li Fet Met", dans laquelle, j'étais le principal exposé mais, dont je n'avais pas, in fine, la maîtrise effective, des procédures judiciaires à engager, dans la perspective d'aller jusqu'au bout et, dès le premier "couac" (engendré par l'avocat de substitution trop incompétent de l'AFRAN), je fus "lâché", en "plein vol", par mes supposés partenaires (les associations roubaisiennes ne voulant pas se fâcher, avec leur maire, qui contribuait, pourtant, à faire insulter leurs pères).
Par ailleurs et en vue de mieux faire comprendre, la situation, aux "non-initiés" (cf. les nouveaux-arrivés sur votre site favori "coalition-harkis.com"), je vous recommande de lire, mon dernier article traitant, de la plainte BENYOUCEF C/ TOUALBIA et, reprenant tous les autres liens nécessaires à assimiler, le déroulement chronologique, de ce "contentieux dit en boule-de-neige", par le raccourci : http://www.coalition-harkis.com/content/view/151/2/. Idem pour l'autre litige évoqué "Li Fet Met" : http://www.coalition-harkis.com/content/view/131/2/.
25/09/2001, le temps furtif, de l'espoir retrouvé, puis, celui des déceptions et des trahisons étatiques !!!
D'autre part, les précédents judiciaires, relatifs à des "actes de racisme anti-Harkis", nous ont démontrés, au plus fort, l'ambiguïté indéniable, de nos juges et procureurs, car, pour mémoire, il convient de souligner que : "La Cour de Cassation avait rendu, en 2000, un arrêt scandaleux, antirépublicain, inique et sans la moindre base légale, stipulant que le fait d'injurier, un Harki et/ou des Harkis, ne relevait pas de la diffamation publique mais de l'opinion politique..." (?). Et, ledit arrêt était devenu, de manière choquante et indécente, une jurisprudence constante, permettant un "quasi-droit légal de diffamer les Harkis et leurs Familles" !!!
L'article 5 de la loi du 23 février 2005 devait être, selon ses auteurs et rapporteurs (incluant Hamlaoui MEKACHERA, notre célèbre "mékach'oualou" qui était, à ce moment-là, un Secrétaire d'Etat aux Anciens Combattants qui méprisait, les Harkis et leurs Familles et les Pieds-Noirs, se bornant, exclusivement, à les instrumentaliser, avec le concours de ses "benouiouis de services", -voir la définition par le lien suivant : http://www.coalition-harkis.com/content/view/140/2/-, à des fins strictement personnelles), UNE TRES GRANDE AVANCEE DANS LA LUTTE CONTRE LE RACISME ANTI-HARKIS mais, que nenni mes amis (es).
Même le procès très médiatisé et de référence (le premier à être fondé sur l'article 5 de la loi du 23/02/2005), de notre "Bwana affreux Jojo de Septimanie", Georges FRECHE, n'est qu'un "écran de fumée", puisque toutes les infractions ont été qualifiées, abusivement et sciemment, par le juge d'instruction (avant la constitution régulière des parties civiles), en "injures à caractère raciste envers un groupe de personnes...", en évitant, insidieusement et volontairement, le "débat au grand jour", autour de la "diffamation publique" (permettant, à la défense, d'invoquer l'exception de vérité visée par la loi du 29 juillet 1881), qui aurait contraint, la justice et les parties, à des discussions très sensibles, sur le plan historique et assimilé !!!
Georges FRECHE, la fierté d'être 1 gros "beauf" !!!
A noter que le délibéré, en appel, sera rendu, par la Cour d'Appel de Montpellier, le 13 septembre 2007 et qui, parions-le, ne fera que confirmer, le jugement en premier ressort prononcé, le 25 janvier 2007, par le Tribunal de Grande Instance de Montpellier, le condamnant à verser, une simple amende pénale, au Trésor Public, de 15000 € et, une "misère", aux parties civiles, ne couvrant même pas leurs frais d'avocat, afin de les contraindre, sournoisement, à leur faire "lâcher prise", pour des raisons financières, au gré des différents recours à venir ?
Ségolène ROYAL et le "Seigneur de Septimanie", Georges FRECHE : 1 remake de la "belle" et la "bête" ?
Quant au jugement ubuesque, du Tribunal Correctionnel de Paris, sanctionnant, Amid TOUALBIA, je pense, en toute objectivité, qu'il est abusif, au moins, sur un point essentiel. En effet, la loi en vigueur affirme que : "Toute personne ayant subi un préjudice, en raison de l'accomplissement d'un crime ou délit, à son encontre, peut se porter, partie civile et, ainsi, obtenir, des dommages et intérêts proportionnés, en vue de réparer ledit préjudice occasionné...". Or, la juridiction correctionnelle parisienne a ordonné, à M. TOUALBIA, de faire publier, dans trois journaux distincts (choisis par BENYOUCEF of course !), le jugement décrié et, là, on touche le fond de l'absurde. Le site "harkis.org" que je n'animais plus, depuis un certain temps, a dû faire, tout au plus, une petite centaine de "clics", sur le "post incriminé", sous la rubrique "témoignages" (très peu consultée même au temps de l'âge d'or de ce site) et, en réplique punitive, le tribunal inflige, au "présumé innocent" TOUALBIA (le jugement n'étant pas encore définitif), la prise en charge astronomique, d'insertions quasi-nationales, dans la presse, au titre de réparations disproportionnées et fictives, car on sait, fort bien, que Messaoud BENYOUCEF ne choisira pas, les petits "canards locaux" mais, de grands quotidiens nationaux, à très large diffusion et, à tarifs exorbitants, C.Q.F.D !!!
Le Tribunal Correctionnel a-t-il cru, en rendant ses résolutions aléatoires, que "harkis.org", c'était TF1 ou Le Monde ? Pour preuve, Amid TOUALBIA n'a-t-il pas été présenté, à tort, dès le début de l'instruction, comme étant un "directeur de la publication" (profession réglementée et responsabilisée) et, cette "erreur d'appréciation" avait perduré au regard du laxisme incompréhensible, de son avocat, Maître CHANGEUR. Donc, pour toutes les personnes désireuses d'obtenir, de la promotion nationale gratuite, il suffirait d'aller poster, soi-même, dans un cybercafé, un post diffamatoire et/ou injurieux, sur un petit site amateur et, ensuite, de déposer une plainte, contre son webmaster, pour décrocher une publicité d'envergure (?).
Néanmoins, il importe de préciser que la Gendarmerie, sous commission rogatoire, du juge d'instruction, avait identifié, depuis "belle lurette", le vrai "corbeau" mais, qui n'a, jamais, été, pour des raisons obscures, inquiété et poursuivi. Par ces motifs, je conseille, à Amid TOUALBIA, d'interjeter appel, sans délai, de ce jugement et, surtout, de changer, en urgence, de conseil.
Enfin, la Coalition Nationale des Harkis et des Associations de Harkis n'en a pas, encore, fini, avec Messaoud BENYOUCEF et, nous entendons obtenir, de la part de l'Etat français, des explications exhaustives et circonstanciées, sur plusieurs points étranges et mystérieux. Comment se fait-il que ce ressortissant algérien réfugié ait pu se faire embaucher, au Ministère de la Culture, dès son arrivée en France, en 1994, sans détenir la nationalité française et sans la compétence y afférente ? Qui est à l'origine de cette embauche douteuse ? Par quelle duplicité, BENYOUCEF a-t-il pu se faire subventionner, en totale violation de son devoir de réserve, ses livres et/ou spectacles très médiocres, diffamant les Harkis et leurs Familles ?
Claude-Alice PEYROTTE et Messaoud BENYOUCEF
Mais, au fait, que font nos supposées "associations nationales" ?
Affaire à suivre...
Khader MOULFI
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P.S. Nicolas SARKOZY n'a pas répondu, à ce jour, à notre lettre ouverte, du 23 juin 2007 (à lire et/ou à relire par le lien suivant : http://www.coalition-harkis.com/content/view/158/2/ et, son agenda officiel, ne fait aucune mention, pour le moment, à son éventuelle participation, à la "Journée d'hommage nationale aux Harkis" du 25 septembre, que nous appelons, quant à nous, à très juste titre, la "journée d'hypocrisie nationale envers les Harkis et leurs Familles" et, que nous boycottons, depuis 2003, car nous pensons, légitimement et logiquement, que sans réparations en synergie, il ne peut y avoir de reconnaissance, sérieuse et crédible, de l'Etat français et, surtout, lorsque notre Président de la République va embrasser, avec passion, le "gnome despotique du FLN", Ziziz BOUTEFLIKA impliqué, directement, dans le "génocide de 150000 Harkis, plusieurs dizaines de milliers de Pieds-Noirs et de centaines de Soldats français de l'armée dite régulière" (à lire l'article : http://www.coalition-harkis.com/content/view/160/2/).
NO COMMENT !!!