24 Décembre 2007
Comme le dit fort bien un célèbre proverbe arabe : "Il faut toujours suivre le menteur jusqu'à sa porte !" et, nous avons suivi, fort de cet adage empli de sagesse, notre nouveau Président de la République, le 5 décembre 2007, à l'Elysée, qui s'est parjuré, d'une part et, d'autre part, engouffré dans la perfide voie de la repentance et des révisionnismes et négationnismes étatiques, ce qui est constitutif d'actes de haute-trahison de fait sans précédent car, sauf erreur, aucun Chef d'Etat français n'avait été aussi loin dans la bassesse mais, il faut constater que Nicolas SARKOZY affectionne, tout particulièrement, les "dictateurs avec du sang de Français sur les mains" tels que BOUTEFLIKA, KHADAFI et autres sinistres convives de cet acabit à venir, prochainement, aux frais de Marianne servant de "paillasson expiatoire" !!!
Bref, le (tout petit) Saint-Nicolas SARKOZY ne nous aura pas apportés, dans sa hotte, les "cadeaux" promis, hormis une "autoflagellation nationale" qui vient de mettre, le Père Fouettard, au chômage et, en l'espèce, le combat se soit de continuer et, j'ai décidé de reporter, par ces motifs, ma "retraite anticipée de militant", jusqu'à nouvel ordre, car l'heure est très grave mes amis (es) !!!
Et, ce n'est sûrement pas l'affligeant "avis" rendu, le 19 décembre 2007, par le Conseil Economique et Social (CES), sur les "Politiques Financières en faveur des Français Rapatriés", qui va nous rassurer sur notre "avenir" très préoccupant et entravé par l'Etat !!!
Dans nos prochains articles, nous vous dévoilerons, au fur-et-à-mesure, nos actions en réplique, pour lesquelles nous aurons besoin, impérativement, du concours massif de tous les gens de bonne volonté (Rapatriés ou pas), pour engager un vrai rapport de force, avec nos politiciens de gauche et de droite, afin de contrer cette félonie étatique de trop !!!
Enfin, je prie, toutes et tous les internautes qui m'écrivent, en aparté, de bien vouloir excuser, mes réponses tardives mais, faute de temps, il m'est, souvent, impossible de pouvoir faire face à l'afflux de courriers que je reçois mais, je m'évertuerai à faire au mieux pour vous écrire en retour au plus tôt.