29 Septembre 2009
Le FLN exige le maintien de son droit d'ingérence, dans notre pays et, de surcroît, celui d'insulter et de diffamer les Harkis et la République Française dont ils sont les valeureux et fidèles Anciens Combattants !!!
Par Khader MOULFI (Coalition-Harkis.Com)
Les débats se poursuivent dans les commentaires ci-dessous qui seront remis à jour au fur et à mesure !!!
Le "gnome despotique du FLN", Ziziz BOUTEFLIKA, chef des égorgeurs, des poseuses de bombes, des racketteurs, des corrompus, des exportateurs d'immigrés, des tueurs de moines français, ...
Il fallait s'y attendre, de la part des sordides satrapes du FLN et de ses "dérivés" aussi dégénérés ! Aussitôt, l'annonce faite, par Hubert FALCO, Secrétaire d'Etat à la Défense et aux Anciens Combattants, lors de son discours à l'occasion de la 09ème Journée d'Hommage National aux Anciens des Forces Supplétives, du 25 septembre 2009, de la création d'une Fondation pour la Mémoire de la "Guerre d'Algérie" (déclarée a posteriori, par la France, 37 ans après la fin des hostilités, via la loi scélérate et révisionniste du 18 octobre 1999) nous jouant, toutefois, l'Arlésienne depuis février 2005 et d'un projet de loi pénalisant les injures, la diffamation et l'apologie de crimes contre les Harkis ou supposés, les "foudres flnistes" se sont déchaînées contre les "mesures françaises en faveur des Harkis" à venir (?) !!!
En l'espèce, Saïd ABADOU, ès qualité de représentant des égorgeurs, des coupeurs de nez, des racketteurs, des violeurs, des poseurs et poseuses de bombes, ... Regroupés dans une structure commune dénommée l'Organisation Nationale des Moudjahidine (dont la plupart de ses membres n'ont jamais affronté, face à face, l'adversaire et ont acquis in fine, par le biais d'espèces sonnantes et trébuchantes, leurs cartes d'ex-terroristes en bons marsiens qu'ils sont !), s'est permis d'alléguer, de manière nauséeuse et infamante, que : "La glorification de la collaboration, par nos ennemis d'hier, constitue une attitude indécente qui inspire le rejet..." !!!
Il est temps de mettre un terme à cette comparaison ignoble et indue, avec la collaboration du Régime de Vichy, sous le Maréchal Pétain, du 11 juillet 1940 au 20 août 1944, durant l'occupation nazie. Il convient d'indiquer que la France était un pays constitué et souverain ayant décidé de déclarer la guerre, à l'instar de la Grande-Bretagne, à Adolphe HITLER, le 03 septembre 1939, après l'invasion de la Pologne, rompant, ainsi, les Accords de Munich.
Face à une très cinglante défaite militaire, la France signa un armistice (plutôt une capitulation), le 22 juin 1940, engendrant l'abandon d'une partie du territoire, au Führer teuton, sous l'administration vichyste et/ou pétainiste de celui dénommé encore le "vainqueur de Verdun". A ce titre, on pouvait scinder, les intéressés, en deux groupes majoritaires de "collabos", d'une part, ceux qui agissaient par fatalisme et pur instinct de survie et, d'autre part, ceux en parfaite adéquation avec l'idéologie nazie et/ou les ultra-zélés par vil opportunisme (délation, engagement dans la gestapo française ou la Waffen S.S).
En bref, la France (incluant l'Algérie de jadis) était un pays indépendant et reconnu occupé, par une méga puissance étrangère, avec laquelle la population dominée avait accepté de "travailler" par nécessité et/ou par convictions ! Il faut se remémorer, à décharge, qu'en 1940, l'armée allemande était quasi-invincible et que tout le monde devait se persuader, de manière désespérée et assez réaliste, que nul ne verrait le bout du tunnel de sitôt.
En ce qui concerne la rébellion en Algérie, entre 1954 et 1962, ce n'est pas du tout la même "histoire". L'Algérie, n'en déplaise à certains, c'était la France une et indivisible (dixit François MITTERRAND en 1956). De nombreux Français d'Algérie de toutes origines et confessions avaient combattu, sous le même drapeau tricolore, notamment, lors des première et seconde guerre mondiale. Et, le 1er novembre 1954 (appelé la Toussaint rouge), un attentat meurtrier perpétré, par le FLN (milk-shake imbuvable de plusieurs composantes nationalistes), contre des civils, lança l'insurrection sanguinaire de cette organisation mi-terroriste mi-mafieuse.
Pour contrer les exactions barbares, du Front de Libération Nationale (Français eux-aussi par définition) et de sa branche armée l'ALN (Armée de Libération Nationale), à savoir : razzias dans les villages isolés, enrôlement de force de jeunes recrues envoyées dans les maquis, enlèvement de femmes pour en faire des esclaves de toute nature, racket sous la désignation d'impôt révolutionnaire, massacres gratuits pour faire l'exemple (dont Melouza), attentats aveugles et ravageurs (Cf. Celui du Milk-Bar à Alger en 1956), ... L'Etat français, sous l'égide de Pierre MENDÈS-FRANCE, mit en branle la "Campagne de Pacification" destinée à éradiquer, le chaos ambiant, tout en assurant la protection des populations civiles.
C'est ainsi qu'après la formation des Groupes d'Autodéfense (GAD), les différentes Forces dites Supplétives (il serait plus judicieux de les nommer, dorénavant, Forces Locales) furent constituées (Harkas, SAS, SAU, GMS, Maghzen), pour se protéger et lutter contre l'oppresseur fourbe flniste qui n'était pas, fort heureusement, le Peuple Algérien sauf à vouloir falsifier, l'Histoire de France, via des anachronismes de propagande. Il est utile de rappeler, au passage, que l'ALN ne comptait dans ses "troupes", en huit années, environ 47000 personnes (selon les sources officielles), alors que les Harkis (nom générique, à présent, pour tous les supplétifs) étaient plus de 227000. En se référant à la notion démocratique de "majorité", qui étaient, par cette supériorité numérique, les plus légitimes à représenter le Peuple ? D'ailleurs, parlons-en du Peuple constitué, de plus de 09 millions d'individus dits "musulmans", qui ne s'est, jamais, "soulevé", massivement, prouvant une certaine volonté explicite et implicite de rester Français (es), si d'aventure le Général Charles DE GAULLE n'avait pas "renié", sa parole donnée, de procéder à l'autodétermination populaire de céans qui aurait permis, le cas échéant, de savoir quel destin commun voulaient les Français d'Algérie de toutes origines et confessions, en lieu et place de cet abandon antidémocratique et criminel, de millions d'âmes, aux mains des satrapes flnistes, par la (dis)grâce des Accords d'Evian entérinés le 18 mars 1962. Le tout suivi, à partir du 19 mars 1962 à 12 heures (date d'entrée en vigueur du vrai/faux cessez-le-feu violé par le FLN et ses marsiens) du génocide de 150000 Harkis, plusieurs dizaines de milliers de Pieds-Noirs et 500 soldats métropolitains (sans parler des épurations intestines et autres règlements de comptes personnels et familiaux au sein de cette dictature corrompue naissante).
Que le FLN s'invente, de nos jours, via sa propagande, un passé romanesque voire héroïque mais, surtout, "mythomane", de glorieux "libérateur du peuple" (dont la quasi-totalité veut venir en France pour fuir la misère et l'absence de tout avenir dans ce pays soi-disant indépendant !), c'est son affaire ! Mais, en revanche, nous devons dire STOP à cette réécriture nauséeuse et complice, par l'Etat français, de la chronologie et de l'authenticité des faits historiques immuables, comme avait pu le faire, récemment, l'ex-SEDAC Jean-Marie BOCKEL que nous avons combattu, collégialement, avec force et succès (à lire en cliquant dessus) !!!
Qu'on se le dise, il n'y a jamais eu de "guerre" d'Algérie mais, exclusivement, une campagne de pacification, contre une minorité activiste : le FLN et oser affirmer le contraire relève du négationnisme, du révisionnisme et de la trahison étatique ! Quant à la "collaboration", la seule fut celle des "porteurs de valises du FLN" (des Français ayant accepté d'aider ces terroristes français à tuer et à mutiler d'autres Français de toutes origines et confessions dont des femmes, des enfants, des vieillards, ... De JEANSON à VIDAL-NAQUET et de SARTRE à SAGAN et beaucoup d'autres célèbres ou anonymes). Pour être complet, je réfute, au plus fort, cette notion raciste, paternaliste, biblique et universaliste de "guerre fratricide" car des frères et sœurs sont, exclusivement, les enfants de mêmes parents et basta ! Dit-on que deux "Auvergnats de souche" (Brice sors tout de suite de ce corps !), par exemple, sont des "frères", surtout, en cas de conflit justifié ? NON, alors ce doit être pareil pour tous, quand bien même pourrait-on choisir de créer, une fraternité bilatérale sans liens du sang mais par choix et affinités !!!
J'exhorte notre Président de la République, Nicolas SARKOZY, à rappeler à l'ordre, BOUTEFLIKA et ses sbires flnistes de très bas-vol, en leur remémorant, avec fermeté, que nous sommes un pays souverain (certes, en phase de colonisation de facto, entre autres, par les chevaux de Troie du FLN) qui se doit d'honorer et de protéger l'honneur et la dignité de tous ses valeureux Anciens Combattants sans distinction en France et partout ailleurs !!!
Affaire à suivre...
Khader MOULFI