16 Mars 2011
Un cadre du Front National dénigre les Harkis... Charles PERROT, un faux-homonyme sur tous les plans, du célèbre auteur de contes pour enfants, très loin de nous faire rêver !!!
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Le FN aime-t-il réellement les Harkis ???
Après Jean-Pierre RAFFARIN, Dominique BUSSEREAU, Pierre LELLOUCHE, ... Voici un nouveau "cas" nauséeux et sordide de dénigrement, de facto, des Harkis !!!
Néanmoins, il s'agit d'une "première" en la matière, cette fois-ci, puisque l'auteur de ces propos orduriers, en l'occurrence : Charles PERROT est un cadre du Front National, parti politique revendiquant, haut et fort, son attachement idéologique aux Anciens des Forces Supplétives et Français Rapatriés d'Algérie... Quelle drôle de manière, visiblement, de nous le prouver dans les actes (?).
En l'espèce, ce secrétaire départemental du FN dans la Loire et, de surcroît, candidat, aux élections cantonales 2011, dans le canton de Saint-Etienne Nord-Est 1, a cru pouvoir déclarer, de manière aussi bête que méchante (et gratuite), au journal "Le Progrès" (lire en cliquant sur ce lien ), que : "Au FN, nous ne sommes pas les harkis de l'UMP" en salissant, sciemment, l'honneur et la mémoire de nos pères.
Force est de constater que le Sieur PERROT assimile, de facto, les Harkis, à de vils serfs, ce qui est choquant et indécent. Il existe assez de termes, dans la langue de Molière, pour qualifier tout ce que l'on veut, pour s'empêcher d'altérer, de manière insidieuse, cette appellation générique attribuée, depuis des décennies, à ces valeureux ex-soldats français qui ont su protéger, au péril de leurs vies, des exactions barbares du FLN, les populations civiles de toutes origines et confessions.
Et, il est trop facile, ensuite, de se justifier en affirmant, trop hypocritement, n'avoir pas voulu, en réalité, injurier les Harkis. Il incombe, désormais, à la présidente Marine LEPEN, à Louis ALIOT, aux anciens officiers, à tous les patriotes, aux Pieds-Noirs, ... De désavouer, immédiatement, Charles PERROT, en le limogeant de ses fonctions et en lui retirant son investiture de cette formation se prétendant "exemplaire". Sinon, l'adage : "Qui ne dit mot, consent" sera de rigueur.
Khader MOULFI
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