20 Octobre 2011
17 octobre 1961 : François HOLLANDE, le pénitent, fait la génuflexion face au FLN génocidaire et despotique (chapitre 1) !!!
Par Khader MOULFI
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Mea culpa, mea culpa, mea maxima culpa (doit se dire, très certainement, le "Flamby" allégé et primarisé, en s'autoflagellant avec délectation) !!!
A peine remis des très récentes élucubrations saugrenues voire tragicomiques (pléonasmes de rigueur), de Jeannette BOUGRAB, Secrétaire d'Etat (dé)chargée de la Jeunesse et de la Vie associative, en Algérie (lire mon article en cliquant sur ce lien)... C'est au tour, à présent, de François HOLLANDE, au lendemain de sa désignation sans surprise, par les militants et sympathisants socialistes, au second tour des primaires (le qualifiant pour devenir le challenger, de Nicolas SARKOZY, pour les Présidentielles de 2012), de se livrer, à une repentance antipatriotique et consternante, en se prosternant sous les pieds sales, du FLN, ayant les mains entachées du sang des innocents (si je ne décroche pas le Goncourt avec ça) !!!
En l'espèce, le premier signe "fort" voulu, par la "gauche molle", est de diviser, les Français (es), au nom d'une idéologie marxiste ayant fait, notamment, au cours du 20ème Siècle, 200 millions de morts (?). Pourtant, de nombreux sondages ont démontré, régulièrement, qu'une très large majorité, de nos compatriotes, était hostile à toute forme de repentance et, surtout, à l'égard des satrapes flnistes, responsables du génocide de 150000 Harkis, de plusieurs dizaines de milliers de Pieds-Noirs, de 500 soldats métropolitains mais, également, de son propre peuple qu'il prétend avoir "libéré" en l'opprimant dans cette terrible dictature corrompue et miséreuse.
Suffit-il de faire un régime draconien et de s'évertuer à imiter, tel un clone sans véritable personnalité, François MITTERRAND à la "francisque" (le seul Président socialiste, sous la Vème République mais qui, était, de notoriété publique, de droite très à droite) pour devenir, réellement, LE grand "rassembleur", de la Nation une et indivisible, qu'il prétend vouloir incarner ??? En toute objectivité, je répondrais que : NON car, chassez le naturel et il revient au galop... Fidèle à lui-même, le député corrézien poursuit, derechef, ses actes de contrition engagés, dès 2006, lorsque celui-ci était premier secrétaire du PS. Il avait promis, rappelons-le, de demander "pardon", aux despotes algériens, au nom de la France, à l'instar de Jack LANG (la girouette politicarde par excellence), si son parti revenait aux affaires.
Pour sa décharge, il convient de souligner que le Président MITTERRAND avait refusé d'entrer, durant ses mandats, dans le jeu des "gauchistes", en dénonçant, de manière claire, par exemple, le 19 mars 1962 ou en ne mettant pas, à l'ordre du jour législatif, le droit de vote pour les étrangers, ... Ses pseudos "héritiers" ne devraient-ils pas se rafraîchir, leur mémoire défaillante, avant d'essayer de nous imposer la nôtre ???
Entre un Nicolas SARKOZY ayant promis, en vain, la fin de la repentance et de l'autoflagellation... Et, un François HOLLANDE voulant que la France se mette à genoux, devant le monde entier, il y a, vraiment, de quoi s'alarmer pour 2012.
François HOLLANDE, à l'instar de ses "camarades" socialistes, n'a pas encore compris, à ce jour, qu'il n'est plus, le premier secrétaire de son parti, cherchant à faire la "synthèse" au sein des différents courants internes. C'est la raison pour laquelle, il se préoccupe, essentiellement, de rallier la gauche "dure" acquise, initialement, à Martine AUBRY et Arnaud MONTEBOURG, sans se soucier d'une très large majorité, de Français (es) désespérés et "politicophobes", qui n'est ni de gauche ni de droite.
En revenant aux fondamentaux archaïques et antirépublicains, de la gauche totalitaire et universaliste du 20ème Siècle, le candidat HOLLANDE démontre qu'il n'a pas, encore, l'étoffe du "rassembleur" vanté, en agissant, exclusivement, en direction de son propre camp et, plus généralement, de ses "alliés" potentiels du second tour.
Pour ce qui concerne, le 17 octobre 1961, je vous recommande de lire et/ou de relire, mes anciens articles (en tapant les mots-clés idoines dans l'onglet "recherche" en haut à droite) mais, néanmoins, il est opportun de remettre, cet "évènement", dans son contexte et sa chronologie, afin de contredire l'intoxication des esprits ambiante.
Après avoir instauré, au cours des sept dernières années, la terreur et le chaos, en Algérie française, le FLN avait entamé, dès 1961, des discussions préliminaires, avec l'Etat français, en vue de parachever le processus d'indépendance décidé, par le Général DE GAULLE, afin d'expédier, le plus vite possible, le dossier algérien.
Cependant, une terrible guerre des chefs, interne au FLN, ainsi qu'une volonté d'éradiquer, toute "concurrence" indépendantiste externe, à la table des négociations, ont engendré, à cette époque, une exportation sanglante du conflit, en métropole, par l'assassinat massif des "messalistes" (le MNA de Messali Hadj), les meurtres aveugles et gratuits de plusieurs dizaines de policiers, des attentats, ...
Certes, Paris était la ville la plus touchée, par ces méfaits flnistes mais, en réalité, toutes les communes, de l'Hexagone, implantées, par les Algériens (au sens originaires de ces départements nationaux), subissaient ces épouvantables exactions terroristes.
Dans cette conjoncture explosive (à tous les sens du terme), un couvre-feu avait été proclamé, par la Préfecture de Paris, pour lesdits Algériens, afin de stopper cette vague criminelle mais, également, le transport d'armes et des fonds résultant du racket, du FLN, auprès des populations susvisées, qui était désigné, par l'expression usurpée "d'impôt révolutionnaire", collecté de gré ou, surtout, de force.
La suite sera publiée lundi 31 octobre 2011.
Affaire à suivre...
Khader MOULFI
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