La Guerre d’Algérie : un révisionnisme et un négationnisme d’Etat ?

 

 

 

 

 

Quand les politiques et les historiens réécrivent une histoire officielle et fallacieuse !!!

 

 

 

 

 

 Massacre_Harkis

 

 "Ahmed SALMI, harki de 60 ans, massacré, par le FLN et ses marsiens, après le cessez-le-feu bafoué, du 19 mars 1962 à 12 heures, avec sa femme et ses 5 enfants. Il eût les yeux crevés avant d'être étranglé par ses génocideurs".

 

N.D.L.R. : Nous avons choisi de vous montrer cette photo très explicite qui n'appelle, de notre part, à aucun commentaire supplémentaire sur la barbarie et les crimes du FLN.

 

 

 

 

 

Dans mon précédent article, en date du 23 mai 2006, intitulé : « La Guerre d’Algérie : une pure invention politicienne ? », je vous faisais la démonstration, irréfutable et logique, que la loi du 18 octobre 1999 était une « réécriture altérée et de convenance », envers certains « lobbies d’anciens combattants », par le politique, de la réalité historique, en vue de déboucher sur une « histoire officielle et idéologique » !!!

 

Dans ce contexte, tout serait à reconsidérer (Accords d’Evian, amnisties des flnistes et de leurs porteurs de valises, …) si la « pacification » était, définitivement, requalifiée en Guerre d’Algérie.

 

Tout d’abord, les membres du FLN deviendraient, de plein droit, des « criminels de guerre » pour avoir bafoué, les « Conventions de Genève », stipulant, notamment, la « sauvegarde de l’intégrité des prisonniers de guerre », alors qu’il est, de notoriété publique, que ces « terroristes » exécutaient, systématiquement, tous leurs ennemis soldats (incluant les harkis) et/ou civils, en prétextant n’avoir pas de « prisons ».

 

Par ailleurs, le FLN serait susceptible d’être poursuivi, devant une juridiction internationale, pour « crimes contre l’humanité et génocide », en raison du « massacre programmé et de masse », des harkis et leurs familles, en violation des Accords d’Evian, car les amnisties franco-algériennes, ne seraient plus recevables. De plus, l’Etat français (et ses représentants successifs) seraient « complices » des ces crimes annoncés et que d'aucuns ne pouvaient ignorer lors de l'abandon odieux des harkis.

 

En outre, l’Etat français aurait « trompé », les harkis, en n’annonçant pas, officiellement et explicitement, qu’il se profilait, dès le 1er novembre 1954, une guerre déclarée, entre la France et l’Algérie (devenue à leur insu un territoire souverain et occupé) et, aucunement, de recruter et de créer une « force supplétive de maintien de l’ordre et de la sécurité », de la France une et indivisible, contre le FLN.

 

Par ailleurs, la répression musclée, du 17 octobre 1961, serait « naturelle » et « licite » car il s’agirait-là d’une simple « autodéfense légitime » face à une « insurrection collective et menaçante » de la part de « ressortissants d’un pays en guerre contre la France ».

 

Ensuite, les « porteurs de valises du FLN » seraient, par définition, des « traîtres à la Nation » eu égard à une « intelligence caractérisée avec l’ennemi en période de guerre » et devraient répondre, évidemment, de leurs « actes », pour avoir participé, directement et/ou indirectement, à des « exactions » contre des Françaises et des Français (incluant les harkis et leurs familles).

 

Néanmoins, il serait temps de cesser, cette « politique fiction rétroactive », car la Guerre d’Algérie n’a, jamais, eu lieu, comme le prouve la chronologie des « évènements » !!!

 

Et, nos parlementaires sont tenus, désormais, de déposer, une proposition de loi, visant à faire abroger celle du 18 octobre 1999, car le politique n’a pas à écrire (surtout réécrire de manière révisionniste et négationniste via les sempiternels anachronismes), une histoire immuable et irréversible (dixit Jacques CHIRAC évoquant l'alinéa 2 de l'article 4 de la loi du 23 février 2005), au nom de « considérations partiales et de propagande », ce qui permet, à présent, à des « pseudos historiens engagés », tels que Benjamin STORA et Mohammed HARBI (flniste de la première heure planqué chez l’ancien occupant nazi), d’alléguer que : « Les harkis ont choisi un camp et ils ont perdu… », ce qui est une contre-vérité indéniable (cf. article de mon ami Massi, agrémenté de mon commentaire, sur harkis.info, en faisant le lien suivant : http://www.harkis.info/portail/article.php?sid=10924043&mode=&order=0&thold=0).

 

Au demeurant, j’attends, toujours, le « débat jouant l’Arlésienne », entre Benjamin STORA et moi-même, quand ce dernier, sur fond d’affaire Olivier PETRE-GRENOUILLEAU (en proie à une polémique sur ses propos concernant la traite négrière), a inventé, de toutes pièces (avec les torchons de propagande flnistes et gauchistes), une controverse victimaire et similaire, pour essayer de vendre ses bouquins et, qui serait supposée l’opposer, à moi-même, compte tenu de son prétendu refus de reconnaître le « génocide harki », ce qui est un mensonge avéré mais ceci est une autre affaire sur laquelle je reviendrai prochainement.

 

Khader MOULFI

 

 

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