Mon billet d'humeur face à la Ripoublique dans tout son Etat !!!

La Coalition Nationale des Harkis et des Associations de Harkis "interpelle", Marianne, pour une mise au point, sur notre "pacte républicain" dévoyé, par des politiques et des institutions amoraux et anarchiques, sans foi ni loi  !!!

 

Les "sauveurs de la république en danger ?" en lice. CHIRAC/SARKOZY (ci-dessus) ou HOLLANDE/ROYAL (ci-dessous) ? Faîtes vos choix, Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs car c'est, ad vitam aeternam, "fromage ou dessert ?" d'autant plus que les "digestifs" risqueraient d'être indigestes en cas d'abus !!!

"Françaises, Français, nous ne vous avons pas compris !!!"
Par Khader MOULFI (pour coalition-harkis.com)

En ce jour symbolique, du 14 juillet, j’attache une certaine importance à pousser un « coup de gueule », quant à notre pacte républicain dévoyé qui ne veut plus rien dire, tant la « ripoublique » (contraction de ripoux et république) n’a plus de sens et de projets collectifs dans l’intérêt général de la Nation et de ses ressortissants nationaux (un résidant n’est qu’un résidant avec ses droits et ses devoirs mais pas notre égal dès lors où la constitution ne le mentionne pas et peu important les lois civiles).

D’un côté, il y a les « gauchistes caviar » (et kébab par opportunisme) roses, verts et rouges qui veulent nous imposer, pour notre bien, leur « idéologie dépassée du passé », en qualifiant de « fascistes », « de nazis », de « nostalgiques de l’Algérie française », de « colonialistes », … Tous leurs détracteurs (incluant les RONA), en lieu et place de débattre, contradictoirement et de manière circonstanciée, car le « leitmotiv », de nos « intolérants au nom de leur tolérance vindicative » est « ou vous êtes avec nous ou contre nous » (tiens comme le FLN !) puisque leur « propagande » se démonte, trop facilement, au regard des sinistres antécédents historiques notoires et de leurs multiples contradictions (entre les mots proférés par endoctrinement et les actes tangibles a posteriori).

Bien entendu, nous appréhendons une restauration, du « goulag » et de la « police militaire intérieure », pour tous les « subversifs » (sans oublier le patronat dans leur ligne de mire), si d’aventure nos « marxistes » revenaient au pouvoir car, hormis une « démagogie clientéliste », il leur serait impossible d’appliquer, leur programme surréaliste, sans le recours à la force et à l’intimidation d’antan (je plaisante quoique tout reste possible dans ce monde cruel).

Néanmoins, ces « philanthropes en paroles » sont, davantage, des adeptes du « fais ce que l’on te dit, pas ce que l’on fait », car il me serait, fort agréable, de connaître le montant précis, du budget mensuel personnel, de ces « Ché Guevara de salons », pour venir en aide aux plus démunis et à leurs « protégés clandestins » ?

En effet et dans la perspective, d’un universalisme utopique, les fameux « citizens of the world » (citoyens du monde) qui chanteraient, le jour-venu, tous en chœur, l’international, nos « bienfaiteurs démagos » veulent entasser, encore, plus d’immigrés réguliers ou clandestins, en France, alors que la « machine à intégrer républicaine » ne fonctionne pas car elle est, en fait, une « machine à désintégrer avec effet collatéral pyramidal » (les harkis et leurs familles et les membres des premiers regroupements familiaux de 1975 en sont les principales victimes, ce qui est une réalité irréfutable et prouvable).

Pour exemple, quand les banlieues (en majorité de gauche) s’enflamment, ce sont les « français aux faciès colorés » (RONA et autres) qui en subissent, exclusivement, les terribles conséquences et, aucunement, ces « pseudos révolutionnaires boutonneux ou anciens chevelus dégarnis » qui ne vivent pas, la discrimination et le racisme, au quotidien, car ils ont, des emplois publics et/ou assimilés, pour assurer l’insertion et la lutte contre les exclusions qui ne marchent pas car ces derniers sont, à la fois, incompétents et préservent leurs « fonds de commerce » (pas fous, les cocos écarlates ou verdâtres).

Nous avions tous « dansés » et « chantés », dans les rues, en mai 1981, quand François MITTERRAND est devenu, Président de la République mais, nous avons très vite « déchanté », en constatant que le « changement promis » n’était pas pour nous les « minorités visibles » car le racisme, les discriminations, la misère, les humiliations, le traitement colonial administratif et politique, … N’avaient, jamais, atteint un tel « paroxysme », de la part d’une « gauche caviar », arrogante et en quête de préserver ses privilèges, sans se soucier des "malheurs", du Peuple méprisé, par leurs prétendus "défenseurs".

Effectivement, nous avons assisté, dans les années 80, à l’émergence d’un « clientélisme de seconde zone » (toujours en vigueur), à l’égard des « intouchables de France » (eh oui, nous vivons, à l’instar de l’Inde, dans des castes de fait), qui consistait à donner, des « miettes » (emplois précaires en associations subventionnées ou en catégorie C à vie dans la fonction publique et/ou assimilée), en contrepartie de divers « services » (acheter la paix sociale auprès de caïds locaux et inciter leurs communautés respectives à voter pour le camp payeur, diviser et opposer le militantisme harki, envoyer en vacances, aux frais de Marianne, dans des destinations prestigieuses et lointaines des voyous pour qu’ils se calment momentanément jusqu’à nouvelles demandes insatiables à l’origine des troubles dans les cités afin de mettre au pas les maires –bel exemple de la récompense au mérite pour les autres-,  emplois fictifs pour leurs militants de propagande électoraliste, …).

Qu’y a-t-il de « fasciste » et « raciste » lorsque des « citoyens de toutes origines et confessions » (incluant les athées) expriment, légitimement, leur « ras-le-bol » face à une « situation de plus en plus invivable », surtout, pour les plus vulnérables et pauvres, dans ce pays, qui ne leur assure plus le respect, du « pacte républicain » et des « lois régaliennes » (logement, emploi, sécurité pour tous les Français). Que pour certains français dits de souche ou autres, leurs existences miséreuses sont, de surcroît, aggravées, par tous les fléaux supplémentaires (crise du logement social pour le plus grand plaisir des marchands de sommeil plébiscités et agréés par les pouvoirs publics pour palier à cette défaillance étatique et entassant, des familles complètes, dans un immeuble exigu –très souvent une maison individuelle transformée en plusieurs minuscules appartements non-isolés phoniquement- quand ce n’est pas un hôtel réquisitionné, banalisation des incivilités, insécurité permanente partout du fait de loubards circulant en bande, trafics de drogue à ciel ouvert dans la plupart des quartiers populaires, tapage diurne et nocturne récurrent où même dormir est devenu un luxe pour la France d’en bas, …).

Idem, quand des Françaises et des Français subissant, depuis des décennies, le chômage de très longue durée, réclament, à juste titre, à leurs dirigeants, de redevenir prioritaires dans leur propre pays. Sauf erreur de ma part, aucune Nation ne se comporte, de manière aussi méprisante et discriminatoire, avec ses nationaux.

Donc, assez de démagogie idéaliste et électoraliste, car nous connaissons, parfaitement, la réalité du terrain, puisque nous la vivons et ce ne sont pas, les « donneurs de leçons de morale de salons » et autres « professionnels de la citoyenneté subventionnés » (qui sont rappelons-le en majorité pour le vote des étrangers, la double nationalité, le maintien du droit du sol,  la régularisation massive et systématique des sans-papiers), qui viendront nous apprendre ce qu’est la « vraie vie » pour la majorité des Françaises et des Français. En utilisant cette petite métaphore, je dirais : « quelle famille accepterait que les parents donnent à manger à autrui avant de nourrir leurs propres enfants surtout quand leurs invités imposés leur pourrissent la vie au quotidien ? » (l’humanisme tout azimut a, aussi, ses limites et ses incompréhensions objectives et égoïstes, galères nationales obligent ! Ce qui n'empêche pas d'avoir de la compassion).

De l’autre côté, le « garant de notre constitution et de nos institutions », Jacques CHIRAC (représentant direct de Marianne ès qualité de président de la république), laisse le « navire France » dériver jusqu’à couler car en mauvais et très veule « commandant de bord », il est incapable de donner le « bon cap » et de diriger son « équipage » et, au besoin, de le changer, afin de retrouver une « cohésion nationale » et un peu plus de "fraternité".

Notre collectif entend rester, apolitique et pragmatique mais, certaines mises au point s’imposaient. Et, il serait temps que les politiciens de tout bord cessent d’œuvrer, pour leurs camps respectifs, au profit de l’intérêt général, des Françaises et des Français, sans se soucier des sondages et autres lobbying clientélistes, car il y a, réellement, péril en la demeure et, je suis prêt à proposer, à nos politiques décalés des réalités, des « stages de réalisme sur le terrain » car je doute qu’ils en sachent beaucoup sur la vie et les aspirations de la « majorité silencieuse » qui reste digne malgré le « calvaire » qu’on lui fait subir !!!

Affaire à suivre car ce débat vient de s'ouvrir et j’attends, de la part de mes contradicteurs, des arguments solides et avérés, plutôt que leurs sempiternelles menaces et invectives, anonymes et virtuelles, qui me laissent de « marbre » (tiens, comme les pierres tombales car on ne meurt qu’une fois paraît-il !).

Khader MOULFI

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