Racisme anti-harkis : Paris Art et Anne CINDRIC aux manettes !!!

L'art contemporain subventionné au service de l'injure et de la diffamation publique ?

La "nation reconnaissante" honore, les harkis, chaque 25 septembre mais, les méprise le reste de l'année !!!

 

Dans sa traque perpétuelle, des racistes anti-harkis, la Coalition Nationale des Harkis et des Associations de Harkis, vient de consulter, un texte très ambigu, évoquant, les harkis, en les assimilant à des bourreaux.

En effet, une supposée "artiste" et, de surcroît, énarque (excusez du peu !) dénommée, Anne CINDRIC, a tenu, sous la plume, de Brigitte CAMUS agissant, pour le compte de Paris Art (journal consacré à l'art contemporain parisien), les propos suivants : "Si l’Etat français fabrique des tapisseries des Gobelins, des cachets de cire ou de la porcelaine, il fabrique aussi des harkis, la Saint-Barthélemy, la rafle du Vel d’Hiv, du sang contaminé et de la chair à canon…" (?).

Cette "plasticienne obscure" amalgame, de manière abjecte et délibérée, les harkis (soldats au service de leur patrie et aux ordres de leurs officiers), aux plus horribles et notoires "crimes historiques", ce qui n'émane pas de la "liberté d'expression" mais, de la diffamation publique contre les harkis, susceptible de poursuites correctionnelles sur la base de la loi du 29 juillet 1881 et, éventuellement, au titre de l'article 5 de la loi du 23 février 2005, si d'aventure cette mesure législative était, d'ores et déjà, mise en application.

Présentée par Paris Art ès qualités de : "Artiste et énarque, Anne CINDRIC assume l’ambiguïté dans son oeuvre dans laquelle elle utilise le masque de l’histoire pour parler d’elle. Dans ses œuvres, les bourreaux sont sur le devant de la scène et cela dérange. Ses thèmes de prédilection: les talismans de l’identité culturelle française, les totems du pouvoir et les affaires de famille.  (description établie par B. CAMUS), Dame CINDRIC semble confondre "provocation" et "racisme anti-harkis" caractérisé.

Bien entendu, nous allons sommer, les protagonistes, notamment, le directeur de Paris Art, André ROUILLE, de s'expliquer, avant d'envisager d'autres actions, sur ce comportement répréhensible et inacceptable.

Où sont passés, les éternels "droits de l'hommiste" (MRAP, LDH, SOS RACISME, LICRA, ...) et les "professionnels de la citoyenneté subventionnés" ? Car on ne les entend, jamais, dénoncer, ce genre de "racisme ordinaire" financé, par l'argent du contribuable, avec l'aval, par définition, du Maire de Paris, Bertrand DELANOË, préférant célébrer, avec le FLN et leurs porteurs de valises et d'idéologie, les 19 mars 1962 (date du démarrage du génocide de 150000 harkis après le cessez-le-feu violé par ses amis flnistes qui sont, pour leur part, de vrais bourreaux) et 17 octobre 1961.

A deux mois, de la "journée d'hommage national aux harkis", du 25 septembre, on constate, au plus fort, le "caractère hypocrite", de cette "supposée reconnaissance", de la Nation, alors que les harkis continuent à se faire insulter, au vu et au su de tous, dans leur propre pays (mais que fait Hamlaoui MEKACHERA, Ministre délégué aux Anciens Combattants ?). Bien entendu, notre coalition envisage de réitérer son appel au boycott, systématique, du 25 septembre, qu'elle perpètre, depuis 2003, tant que ce dossier ne sera pas, définitivement, résolu (réparations, réhabilitation de la véritable histoire falsifiée par la propagande flniste et consorts, ...) !!!

Khader MOULFI

P.S. Nous avons saisi, également, la Ligue des Droits de l'Homme, le MRAP, la LICRA, SOS RACISME, la CIMADE, ... Et, plusieurs parlementaires et journalistes. Néanmoins, nous tenons à publier, ci-dessous, le mail transmis, dans la soirée, par le Directeur de Paris Art, M. André ROUILLE, dont nous saluons la rapidité de règlement, de ce litige, au niveau du diffuseur.

Directeur de paris-art.com
à
M. Khader Moulfi, porte-parole et coordinateur de la coalition nationale des harkis et des associations de harkis

Monsieur Khader Moulfi,

Nous avons retiré de l’interview d’Anne Cindric publiée dans le site internet paris-art.com la phrase qui pouvait prêter à interprétation.

En tant qu'énarque, Anne Cindric met en cause l'appareil de l'Etat, c'est sa position. Mais je tiens à vous assurer qu'il n'était pas dans notre intention, en publiant l’interview d’Anne Cindric, de porter tort à la communauté des harkis.

Je vous précise en outre que Brigitte Camus a défendu tout au long de sa carrière journalistique la cause des harkis. Vous pourrez vous en assurer en consultant les archives du Monde où elle a écrit une page avec Alain Rollat pour aider à la cause des harkis.

Vous nous obligeriez en prenant toutes les mesures nécessaires pour informer (sur votre site et sur les supports que vous avez mobilisés) de notre réponse positive à votre légitime requête.

Avec nos excuses, je vous prie d'agréer, l'expression de notre considération.

André Rouillé.
Le directeur de paris-art.com

N.D.L.R. Désormais, nous attendons, avec impatience, l'éventuelle réaction, de la principale intéressée, Anne CINDRIC, afin d'entendre, ses propres explications relatives à la teneur des susvisées assertions anti-harkis mais, aussi, de s'assurer que cette dernière n'expose aucun "ouvrage" pouvant porter atteinte à l'honneur et à l'intégrité de ceux-ci. A titre infiniment subsidiaire, nous doutons que Mme CINDRIC ne mette en cause, exclusivement, l'appareil de l'Etat (dixit André ROUILLE), puisqu'elle stigmatise, clairement et iniquement, les harkis et, son statut d'énarque lui confère des "circonstances aggravantes" car elle est une "personne éclairée".

Affaire à suivre...

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