Bonjour Oranie, ALWEG et à toutes et tous les internautes,
Certes, ce sujet consacré, aux "Disparus en mission", se devait d'être évoqué, dans nos médias mais, en toute objectivité, je n'ai pas du tout apprécié ce documentaire.
En effet, le "téléspectateur non-initié" n'aura, probablement, rien compris, aux "évènements traités", tant ce programme a été réalisé avec un amateurisme consternant et, surtout, indigne d'une chaîne du service public se voulant élitiste.
La "sémantique douteuse voire tiers-mondiste" utilisée, par la "voix-off", était insupportable ! La ségrégation délibérée, entre les "soldats français" et les "soldats algériens" (pour qualifier les militaires d'origine maghrébine mais, non moins, Français eux-aussi), relevait, bien entendu, des sempiternels révisionnismes et négationnismes auxquels nous sommes, désormais, habitués.
Passons, le "mutisme de notoriété publique", de l'Etat français, sur ces questions, car nous n'avons rien appris, de "nouveau", sur ses pratiques de l'omerta caractérisée.
Plus grave, la soi-disant "enquête en Algérie", où ces "pseudos journalistes d'investigation" ayant commis, ce reportage affligeant, ont donné, la parole, à des tiers, d'une part, faisant l'apologie de leurs "crimes" et, d'autre part, qui ont pu diffuser, par "messages subliminaux" interposés, la propagande du FLN !!!
A l'appui de quelles preuves irréfutables, ces "investigateurs à la petite semaine" ont cru pouvoir donner, du crédit, à de tels "commérages d'intoxication" ? Tout en sachant, pertinemment, que dans la dictature flniste algérienne, personne ne peut s'exprimer, devant des caméras, de surcroît, françaises, sans l'aval de l'armée et du FLN !!!
Malheureusement, de nos jours, les journalistes vrais ou supposés sont recrutés, non pas, sur leurs compétences et leur déontologie mais, sur leurs appartenances idéologiques, politiques et, évidemment, en fonction de leurs réseaux !!!
Affaire à suivre...
A.F. Très Cordialement,
Khader MOULFI
